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miércoles, 29 de noviembre de 2017

One Minute Per Day - Aleksandr Solzhenitsyn's conversations

Aleksandr Solzhenitsyn's conversations 

Broadcast every two weeks on Russia's Channel 1, from April to September 1995.


(Russian audio with English subtitles)

https://youtu.be/VjUVlrRdVOok


Solzhenitsyn: "Men Have Forgotten God", Warnings From The Past


Solzhenitsyn: The bolshevik nightmare happened because “men have forgotten God”








Since then I have spent well-nigh 50 years working on the history of our revolution; in the process I have read hundreds of books, collected hundreds of personal testimonies, and have already contributed eight volumes of my own toward the effort of clearing away the rubble left by that upheaval.



But if I were asked today to formulate as concisely as possible the main cause of the ruinous revolution that swallowed up some 60 million of our people, I could not put it more accurately than to repeat:


“Men have forgotten God; that’s why all this has happened.”



― Alexander Solzhenitsyn (from Ross Mahan)

11 years in the gulag




https://youtu.be/EVDYYQnCWp8


Solzhenitsyn, on Civilization, Self-Restraint and Right Living


Russia between the West and the East


https://youtu.be/oio7qmSvgsw




Excerpt from Part I of "Live Not By Lies", Sergei Miroshnichenko's trilogy on Aleksandr Solzhenitsyn. [Russian audio with English subtitles]

martes, 28 de noviembre de 2017

Pourquoi les franc maçons s'appellent entre eux les « fils de la Veuve » ?


Le 28 novembre 1789: le « frère » docteur Guillotin présente son invention.



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Source: Le Salon Beige

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Le docteur Joseph Guillotin présente aux députés de l'Assemblée Constituante une nouvelle machine servant à exécuter les condamnés à mort. L'engin, mis au point en collaboration avec le chirurgien Antoine Louis, est selon ses inventeurs le moyen "le plus sûr, le plus rapide e le moins barbare." Il sera d'abord appelé 'Louison" ou "Louisette" mais très vite les parlementaires et les journalistes lui donneront le nom de "guillotine" en souvenir du nom de son créateur. Le peuple surnommera la machine: "la veuve". La première exécution aura lieu le 25 avril 1792, elle s'appliquera à un bandit de grand chemin. La guillotine fonctionnera jusqu'en 1977.

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Initié en 1772 à la loge « la parfaite union » d'Angoulême, il devint en 1776 Vénérable de la loge la « Concorde fraternelle à l'Orient » de Paris et en 1778 membre affilié à celle des « Neuf sœurs » (côtoyant les peintres Jean-Baptiste Greuze ou Claude Joseph Vernet, Voltaire, le duc d'Orléans ou le duc de Chartres)[]. Il fréquenta tout au long de sa vie les loges et joua aussi un rôle dans la formation du Grand Orient de France.

Son invention est la raison pour laquelle que les franc maçons s'appellent entre eux les « fils de la Veuve ». Quelle glorieuse filiation ! On reconnait à travers tout cela le côté profondément humaniste de la secte.

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viernes, 24 de noviembre de 2017

Dans cette église une vache crucifiée est exposée...


« Laissez une paroisse vingt ans sans prêtre : on y adorera les bêtes. »


Le saint curé d'Ars n'aura jamais eu autant raison que dans cette église du Limbourg néerlandophone où une vache crucifiée est exposée... Sauf que dans cette paroisse, il y a toujours un prêtre...

L'œuvre de Tom Herck a en effet été installée dans une église où des messes sont toujours célébrées.

Une manifestation d'indignation a eu lieu le 19 novembre.




Alors ! Anti chrétienne la révolution ?


Le 24 novembre 1793 : la publication du calendrier révolutionnaire


Source: Le Salon Beige

La Convention publie le calendrier républicain. 

Le 22 septembre 1792, au lendemain de l'abolition de la royauté, les députés décident que les actes du gouvernement seront désormais datés de "l'An 1 de la République". 

Le 5 octobre 1793, les députés votent l'abolition du calendrier grégorien, hérité de Jules César et modifié par le pape Grégoire XIII en 1582. 

Les semaines deviennent des décades ; primidi, duodi, tridi, quartidi, quintidi, sextidi, septidi, octidi, nonidi et décadi en sont les jours. 

Les mois ont tous 30 jours et le poète Fabre d'Églantine renomme les mois ; leurs noms évoquent les quatre saisons : vendémiaire, brumaire, frimaire, nivôse, pluviôse, ventôse, germinal, floréal, prairial, messidor, thermidor, fructidor. 

Pour s'aligner sur un cycle solaire, ces douze mois sont complétés par cinq ou six jours consacrés à des fêtes patriotiques, les « sanculottides ». 

Le principe n'est pas à proprement parler nouveau. Il était déjà employé par les pharaons ! 

Napoléon Ier l'abolit le 9 septembre 1805 et le calendrier grégorien reprend le 1er janvier 1806. Il servait surtout à faire disparaître toutes les traces des saints et des fêtes chrétiennes.

Alors ! Anti chrétienne la révolution ? Qui ose nier cette réalité.

Pas un de ses inspirateurs, Voltaire, qui signait ses lettre par un «Écrasons l'infâme» ou en abrégé : « Ecr. L'inf. » . Cet infâme dont il disait : « fantôme hideux », « un monstre abominable », « l'hydre abominable qui empeste et qui tue ». Il signait aussi parfois « Christ moque »

Son ennemi était le Christ, non pas dans sa nature humaine mais dans sa nature Divine. L'infâme pour lui était Dieu. Et cet homme est au Panthéon français !

lunes, 20 de noviembre de 2017

Ce n'est pas la royauté qui est d'institution divine, mais le pouvoir


Le 20 novembre 1316: Jean Ier meurt, à 5jours, le régent Philippe devient Roi.


Source: Le Salon Beige

Jean Ier de France, dit « le Posthume », Roi de France et Roi de Navarre, était fils posthume de Louis X le Hutin et de Clémence de Hongrie. Né dans la nuit du 14 au 15 novembre 1316, il ne vit que cinq jours. Il est enterré dans la basilique de Saint-Denis. Le comte de Poitiers, alors régent, est proclamé Roi de France sous le nom de Philippe V.

La mort prématurée de Jean Ier amène le premier problème de succession de la dynastie capétienne. Quand Louis X le Hutin, son père, meurt sans fils pour lui succéder, c'est la première fois, depuis Hugues Capet, que la succession de père en fils des Rois de France s'interrompt. On décide alors d'attendre que la reine Clémence, qui était enceinte, mette son enfant au monde. Le frère du Roi, Philippe, est donc chargé de la régence du royaume contre son oncle Charles de Valois. La naissance d'un enfant mâle était donc très attendue pour donner à la France son Roi.

Le problème de succession demeure, quand le nourrisson, proclamé Roi de France sous le nom de Jean Ier, meurt cinq jours après sa naissance. C'est son oncle qui monte alors sur le trône, aux dépens de sa demi-sœur de cinq ans Jeanne, fille de Louis le Hutin et de Marguerite de Bourgogne, en application de la loi salique ou loi de masculinité. Cette loi est aussi une conséquence de la loi de sacralité, car les femmes ne sont pas admises au sacerdoce, or au moment du sacre le Roi de France reçoit les trois ordres : sous diaconat, diaconat et la prêtrise. Ce n'est pas une quelconque incapacité féminine qui est en cause, car elles peuvent gouverner le pays, et le feront souvent, mais un statut religieux.

Rappelons quelle est la loi de sacralité est une des lois fondamentales du Royaume :

Détenteur d'un pouvoir venant de Dieu, par la vertu du sacre à Reims sa personne devient sacrée. Il est oint d'une façon particulière, à la manière d'un évêque. Le rite est réservé au Roi, la reine n'est pas sacrée de la même façon. Il revêt les mêmes vêtements sacerdotaux que les évêques et communie sous les deux espèces, chose réservée à l'époque, aux prêtres. On parle souvent de huitième sacrement pour le sacre des Rois de France. Le Roi est le lieutenant de Dieu ; c'est dire le « tenant lieu » de Dieu sur la terre. Il exerce sa fonction comme un sacerdoce. C'est pourquoi, seuls les Rois de France pouvaient signer : « Louis, Par la grâce de Dieu, Roi de France ». Tous les Rois de France, jusqu'à Louis XVI, ont été sacrés avec l'huile sainte qui servit pour Clovis. Cette onction donne au Roi un sceau religieux indélébile. Il ne peut pas abdiquer. Il n'y a pas d'âge pour être sacré ; Reims n'est pas le lieu obligatoire. Les Rois de France tire aussi de ce sacre leur don de guérir les écrouelles : « le Roi te touche, Dieu te guérit ».

Cette prééminence de la personne du Roi de France sur tous les autres souverains chrétiens a été rappelée par maints et maints écrits des Papes, et manifestée diplomatiquement par la prééminence des ambassadeurs de France (qui marchaient un mètre en avant) sur ceux des autres nations pendant de long siècle.

A la base de cette loi, se trouve l'idée religieuse que tout pouvoir vient de Dieu (Saint Paul « Epitre aux Romains XIII-1). Il n'y a pas de souveraineté qui ne procède de Dieu. La source de tout pouvoir temporel est en Dieu. Ce n'est pas la royauté qui est d'institution divine, mais le pouvoir. La royauté franque, par le baptême de Clovis, a officiellement reconnue qu'elle recevait ce pouvoir de Dieu. Depuis, les Rois de France ont toujours eu une double mission temporelle et spirituelle. Rien n'empêche le système républicain actuel de se « convertir » et de fonder ses structure sur la même réalité spirituelle. Avant la France, seuls les celtes et le peuple juif avaient cette conception du pouvoir politique. Il y a donc bien une conception religieuse du pouvoir en France qui a prévalue jusqu'après la révolution.

Cette loi de masculinité, une conséquence de la loi de sacralité, est aussi appliquée en 1322, le Roi Philippe le Long n'a que des filles, c'est son frère Charles IV qui devient Roi ; en 1328 quand ce dernier meurt sa fille est aussi écartée du pouvoir. Mais la loi écarte aussi les hommes descendants des Rois de France par les femmes ; c'est pourquoi Edouard III d'Angleterre ne pourra jamais être Roi de France et commencera la guerre de 100 ans.

domingo, 19 de noviembre de 2017

III Jornadas ¨América Católica¨ - Buenos Aires - del 22/11 al 24/11 en la Parroquia San Agustín


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La théorie du genre n’est plus une théorie, mais quasiment une réalité confessionnelle intime, une philosophie partagée

« LA THÉORIE DU GENRE N’EST PLUS UNE THÉORIE MAIS UNE RÉALITÉ PRESQUE CONFESSIONNELLE »


par Émile Duport - Conseiller en communication - Fondateur des "Survivants"


Le bus CitizenGO sillonne les rues de Paris et Saint-Denis pour dénoncer « la théorie du genre qui n’existe pas ». Cette opération a fait réagir vigoureusement les maires de Paris et Saint-Denis et les militants de la cause du genre. Émile Duport décrit pour Boulevard Voltaire qui sont ces derniers.

Émile Duport, la plate-forme CitizenGO a organisé un happening dans un bus pour dénoncer la théorie du genre. Les villes de Saint-Denis et Paris ainsi que beaucoup de militants de la cause du genre ont condamné cette initiative. Vous qui avez été partie prenante, qu’avez-vous observé ?

J’ai effectivement travaillé sur l’identité visuelle du bus. L’idée était de parler de la théorie du genre, de montrer qu’elle était soutenue par les uns, niée par les autres. CitizenGO, en Espagne ou aux États-Unis, avait un postulat un peu primaire. Ils mettaient une petite fille et un petit garçon en picto avec la légende « Un garçon est un garçon et une fille est une fille ». C’est un postulat biologique alors que le genre est une théorie beaucoup plus pernicieuse.

D’ailleurs, ils pourrissent le mot « genre ». Il est devenu négatif dans notre bouche, alors que c’est normalement une donnée anthropologique neutre.
L’idée du genre est que l’on peut déconnecter son appartenance biologique sexuelle d’un sentiment d’appartenance au sexe associé. On peut donc considérer la nature mal faite et être victime d’une injustice lorsqu’on a un sexe de garçon et qu’on aspire être une fille. C’est le fond de la théorie du genre.

En fait, on a observé à travers cette initiative que ce n’est plus une théorie, mais quasiment une réalité confessionnelle intime, une philosophie partagée par beaucoup de personnes, dont certaines, en souffrance d’indétermination de genre.

Ces personnes se sentent garçons alors qu’elles sont filles, ou inversement. C’est un phénomène qu’on retrouve depuis longtemps et dans différentes civilisations. De là à en faire une institution et de semer l’incertitude, au nom de cette souffrance, dans les consciences de nos enfants en leur disant que c’est une notion malléable et indéfinie et que c’est un exercice de leur liberté que de définir leur genre est profondément scandaleux. Cela crée un doute existentiel dans des esprits qui ne se posent même pas la question.


Vous avez été ce qu’on appelle un « militant digital ». Vous avez souvent affronté ce type de militants. Quel est le militant typique de la cause du genre ? Peut-on parler d’intersectionnalité des luttes pour tout ce qui peut dépasser la nature au nom de la liberté ?

Ce n’est pas qu’une défense intellectuelle. Il y a, en fait, deux postures. Il y a l’étudiant en sociologie bac+5 qui voit dans la théorie du genre une aventure intellectuelle, un moyen d’émancipation du genre humain. Il y a aussi la personne qui souffre par exemple de fluidité, c’est-à-dire qu’elle se sent fille puis garçon, et qui a envie d’être « justifiée ». Ces personnes préfèrent qu’on leur dise que c’est naturel plutôt que c’est psychiatrique et on peut l’accompagner pour régler ce problème. Elles préfèrent entendre que la nature est mal faite et que naturellement il y a une fluidité. C’est finalement vouloir adapter la nature à des comportements sociétaux et sexuels.

Je n’ai pas lu tous les commentaires. Avec Les Survivants, je ne les lisais pas beaucoup car je me faisais insulter sans cesse. Ici, il y a des gens sincères qui demandent qu’on se mette à leur place. 
Ils demandent que les enfants se mettent à leur place. Ce n’est pas le sujet ! Ils en demandent beaucoup trop à la société et cela devient pervers.

Ne représentent-ils que quelques milliers de personnes en France ou seraient-ils plus nombreux ?

Je pense que, des deux côtés, il n’y a pas grand monde. Du côté de ceux qui voient la perversité de la théorie du genre et, en face, ceux qui soutiennent une forme de « progressisme biologique », c’est un microcosme parisien qui s’affronte. Ce que j’ai trouvé intéressant, avec cette histoire de bus, c’est qu’il y a beaucoup de gens de notre famille de pensée qui considèrent que c’est un non-débat.

C’est peut-être le cas, mais CitizenGO a quand même eu le mérite de faire sortir du bois des militants qui ont un langage assez divers mais unifié sur un mal-être, sur un sentiment que le progrès viendra d’une prise de conscience que la nature est mal faite et qu’il faut la corriger par la technique.

C’est très pervers et ce n’est pas du tout passionnel, comme dans le cas de l’avortement où il n’y a même pas vraiment d’arguments. Là, c’est différent. Il y a deux conceptions de la vie qui s’affrontent. La violence de la réaction de Hidalgo avec son expression « le bus de la honte » laisse présager qu’elle soutient ce mouvement de société.

Cela fait peur, car on n’attaque pas, quoi qu’en pensent certains, les trans et les homos par ce bus. On dit simplement que pousser les enfants à faire abstraction de leur genre par rapport à leur sexualité biologique propre, c’est l’inverse de l’éducation.

On essaye de déconstruire un enfant alors qu’il a besoin de certitudes.

Source: www.bvoltaire.com

To the NYT, the end of communism as we knew it really was the end of hope for a better life ...


The New York Times and the “Lost Cause” of Bolshevism


By William L. Anderson


A century ago this week, the Bolshevik Revolution in Russia ushered in a century of mass murder, starvation, summary execution of millions of people, destruction of ancient social institutions, wars, a vast network of death camps, and the evisceration of liberty, at one time, of a third of the planet.

According to the New York Times, we should be mourning the passage of this era and all of its promises of a better life for all.

You read that correctly.

For the past few months, leading up to the centennial of when the followers of Lenin and Trotsky overthrew the Provision Government of Russia and established “all power to the Soviets,” the Times has run a series of op-ed articles by people mostly mourning the “Lost Cause” of communism and all of its promise. We have learned that Bolsheviks were wonderful parents, that women under communism had great sex, Mao liberated women(when he wasn’t murdering them), that Bolshevism promoted a pristine, clean environment and we should all be communists if we want environmental purity (except that the communist bloc had much worse pollution problems than the so-called polluted capitalist West), and that the revolutionary fervor of communism can lead to a glorious socialist future.

Time to buy old US gold coins

As one reads these articles, it becomes clear that to the NYT, the end of communism as we knew it – except for a few backwaters like North Korea and Cuba – really was the end of hope for a better life, the end of hope of liberation from the slavery of capitalism, and the end of hope that the state could forcibly destroy human institutions from marriage to religion and replace them with peace, love, and brotherhood. If only.

Should there be a common theme in these odes to the glories of Bolshevism, one senses that the world missed the opportunity to install paradise because those great Keepers of the Secret continued to die before they could share their great knowledge with the rest of humanity. Oh, if only reactionary Germans had not killed Rosa Luxemborg in 1919, for sheknew how to make socialism work. If only Trotsky had triumphed instead of Stalin in the 1920s. If only Lenin hadn’t died prematurely from complications from a stroke. If only Mao had not contracted ALS and died. And so on.

Given the near-uncritical support that the NYT historically has given communist dictators, from its deliberate cover-up of the infamous Ukraine famine in the 1930s, its whitewashing of the Moscow Show Trials of that same decade, and its near-worship of Mao in China and Castro in Cuba, one comes to understand that the editors of that paper now regard communism as a great “lost cause,” a chance for humanity to better its sorry condition that disappeared all because the Great Unwashed wanted cellphones, fast cars, good food, and, yes, liberty instead of embracing the intellectual and spiritual liberation that communism offered.

American journalists are not afraid to attack the “lost cause” interpretation of the American Civil War and Southern secession. The South depended heavily upon black chattel slavery, it sought secession in order to continue that doomed institution, and all of its fighters were traitors, or at least that is how modern journalists interpret that war. That the horrors of Jim Crow and its accompanying violence came about only after Southern politicians embraced the Northern secular religion known as Progressivism is stuffed down the same Orwellian Memory Hole into which the NYT and its supporters in academe and the media have deposited the unprecedented orgy of murder and slavery that was Bolshevism and its aftermath.

We should not forget that the NYT has endorsed nearly every totalitarian movement save Nazism, and no respectable person wants to endorse Adolph Hitler, anyway. As for socialism, what socialistic or communist regime has the NYT and its gaggle of academic and journalistic allies not endorsed, at least at the beginning? It stood with Hugo Chavez in Venezuela, Daniel Ortega in Nicaragua, and, for a while, even Pol Pot in Cambodia. As always, they declared the very idea of socialism to be rooted in justice, so even if the actual communist experiment failed, nonetheless, the love of justice required that right-minded people support it, anyway.

In comparing the nostalgia the NYT has toward fallen communist regimes with the old “lost cause” view of the Civil War, there is a huge difference between the two. Regarding the former, the NYT and its like-minded allies would not hesitate to claim that at least some violence is necessary in order to achieve Utopia, or, to quote the NYT’s correspondent in Moscow during the Stalin years, Walter Duranty, “One cannot make an omelet without breaking eggs.”

For that matter, the political allies of the NYT in Great Britain, the Labour Party, not only refuses to condemn the century of violence and bloodshed that was communism, but has leaders that openly celebrate the Bolshevik Revolution in all its gore and mayhem. But for all of the “lost cause” talk regarding secession and the South, no one today that defends the South also defends slavery. To the contrary, most people who would defend secession also would say that slavery not only was immoral, but also was not a viable economic system and would have ended soon enough.

One cannot say that about today’s defenders of socialism. At best, they can claim that the violence that has accompanied the implementation of revolutionary socialism simply is an unnecessary mistake, as though a regime can seize property, shut down churches, confiscate one’s goods, and do it all non-violently with a happy face. However, as the late Tibor Machan noted more than three decades ago, implementing Marx requires a Stalin.

Today, we see the Smiley-Faced Socialism in the persona of Bernie Sanders, who claims to simply want a nice socialism in which there is no poverty – and no police state. Sanders, however, has spent most of his formative political years as a self-described Trotskyite, and if one identifies with Leon Trotsky, one must also identify with the methods the man implemented.

Likewise, the editorial writers for the New York Times do not have the luxury of pining for the supposed pure ideals of communism, but then turning up its nose at the bodies of the millions of the dead communist leaders left behind. If implementation of an organizing principle results in mass starvation, vast prison camps, and death and destruction, it probably is safe to say that the original organizing principle itself is morally bankrupt. That is something I doubt the NYT and its groupies ever will understand.

The Best of William L. Anderson


William L. Anderson, Ph.D. [send him mail], teaches economics at Frostburg State University in Maryland, and is an associated scholar of the Ludwig von Mises Institute. He also is a consultant with American Economic Services. Visit his blog.


Massive capital consumption is taking place. Capital does not automatically grow or perpetuate itself.


We're Living in the Age of Capital Consumption


by Ronald-Peter Stöferle


When capital is mentioned in the present-day political debate, the term is usually subject to a rather one-dimensional interpretation: Whether capital saved by citizens, the question of capital reserves held by pension funds, the start-up capital of young entrepreneurs or capital gains taxes on investments are discussed – in all these cases capital is equivalent to “money.” Yet capital is distinct from money, it is a largely irreversible, definite structure, composed of heterogeneous elements which can be (loosely) described as goods, knowledge, context, human beings, talents and experience. Money is “only” the simplifying aid that enables us to record the incredibly complex heterogeneous capital structure in a uniform manner. It serves as a basis for assessing the value of these diverse forms of capital.

Modern economics textbooks usually refer to capital with the letter “C”. This conceptual approach blurs the important fact that capital is not merely a single magnitude, an economic variable representing a magically self-replicating homogenous blob but a heterogeneous structure. Among the various economic schools of thought it is first and foremost the Austrian School of Economics, which stresses the heterogeneity of capital. Furthermore, Austrians have correctly recognized, that capital does not automatically grow or perpetuate itself. Capital must be actively created and maintained, through production, saving, and sensible investment.

Moreover, Austrians emphasize that one has to differentiate between two types of goods in the production process: consumer goods and capital goods. Consumer goods are used in immediate consumption – such as food. Consumer goods are a means to achieve an end directly. Thus, food helps to directly achieve the end of satisfying the basic need for nutrition. Capital goods differ from consumer goods in that they are way-stations toward the production of consumer goods which can be used to achieve ultimate ends. Capital goods therefore are means to achieve ends indirectly. A commercial oven (used for commercial purposes) is a capital good, which enables the baker to produce bread for consumers.

Through capital formation, one creates the potential means to boost productivity. The logical precondition for this is that the production of consumer goods must be temporarily decreased or even stopped, as scarce resources are redeployed toward the production of capital goods. If current production processes generate only fewer or no consumer goods, it follows that consumption will have to be reduced by the quantity of consumer goods no longer produced. Every deepening of the production structure therefore involves taking detours.

Capital formation is therefore always an attempt to generate larger returns in the long term by adopting more roundabout methods of production. Such higher returns are by no means guaranteed though, as the roundabout methods chosen may turn out to be misguided. In the best case only those roundabout methods will ultimately be continued, which do result in greater productivity. It is therefore fair to assume that a more capital-intensive production structure will generate more output than a less capital-intensive one. The more prosperous an economic region, the more capital-intensive its production structure is. The fact that the generations currently living in our society are able to enjoy such a high standard of living is the result of decades or even centuries of both cultural and economic capital accumulation by our forebears.

Once a stock of capital has been accumulated, it is not destined to be eternal. Capital is thoroughly transitory, it wears out, it is used up in the production process, or becomes entirely obsolete. Existing capital requires regularly recurring reinvestment, which can usually be funded directly out of the return capital generates. If reinvestment is neglected because the entire output or more is consumed, the result is capital consumption.

It is not only the dwindling understanding of the nature of capital that leads us to consume it without being aware of it. It is also the framework of the real economy which unwittingly drives us to do so. In 1971 money was finally cut loose entirely from the gold anchor and we entered the “paper money era.” In retrospect, it has to be stated that cutting the last tie to gold was a fatal mistake. Among other things, it has triggered unprecedented instability in interest rates. While interest rates displayed relatively little volatility as long as money was still tied to gold, they surged dramatically after 1971, reaching a peak of approximately 16 percent in 1981 (10-year treasury yield), before beginning a nosedive that continues until today. This massive decline in interest rates over the past 35 years has gradually eroded the capital stock.

An immediately obvious effect is the decline in so-called “yield purchasing power”. The concept describes what the income from savings, or more precisely the interest return on savings, will purchase in terms of goods. The opportunity to generate interest income from savings has of course decreased quite drastically. Once zero or even negative interest rate territory is reached, the return on saved capital is obviously no longer large enough to enable one to live from it, let alone finance a reasonable standard of living. Consequently, saved capital has to be consumed in order to secure one's survival. Capital consumption is glaringly obvious in this case.

It is beyond question that massive capital consumption is taking place nowadays, yet not all people are affected by it to the same extent. On the one hand, the policy of artificially reducing the interest as orchestrated by the central banks does negatively influence the entrepreneurs’ tasks. Investments, especially capital-intensive investments seem to be more profitable as compared to a realistic, i. e. non-interventionist level, profits are thus higher and reserves lower. These and other inflation-induced errors promote capital consumption.

On the other hand, counteracting capital consumption are technological progress and the rapid expansion of our areas of economic activity into Eastern Europe and Asia in recent decades, due to the collapse of communism and the fact that many countries belatedly caught up with the monetary and industrial revolution in its wake. Without this catching-up process it would have been necessary to restrict consumption in Western countries a long time ago already.

At the same time, the all-encompassing redistributive welfare state, which either directly through taxes or indirectly through the monetary system continually shifts and reallocates large amounts of capital, manages to paper over the effects of capital consumption to some extent. It remains to be seen how much longer this can continue. Once the stock of capital is depleted, the awakening will be rude. We are certain, that gold is an essential part of any portfolio in this stage of the economic cycle.


Ronald-Peter Stöferle is managing partner and fund manager at Incrementum AG, Liechtenstein. He invests using the principles of the Austrian school of economics.

Read more: mises.org

Dédicaces d´auteurs - 24-25 novembre - Marché de Noël de Saint-Joseph des Lys (Versailles)


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Source: lesalonbeige.blogs.com

sábado, 18 de noviembre de 2017

#Gramsci e il movimento #LGBT #osservatoriogender #genderdiktatTwitta la notizia !


Gramsci e il movimento LGBT


David Botti


Dall’8 al 20 ottobre si è svolto a Bologna un “Festival delle biblioteche” che ha avuto come tema «Il cammino dei diritti». L’incontro tenutosi il 13 ottobre presso la sede del “Cassero – LGBT center” rivela in modo chiaro di quali diritti si stia parlando: «Affetti e diritti: il cammino verso la piena cittadinanza per le persone LGBT».

Lo scopo delle iniziative sembra essere quello di preparare il terreno ad una legge regionale contro l’omo-trans-fobia – voluta congiuntamente dal Partito Democratico e dell’Arcigay – sul modello di quelle già approvate in Piemonte e Umbria. Questo spiegherebbe i consueti patrocini della Regione Emilia-Romagna, dell’Università di Bologna e della Fondazione del Monte (gruppo Unicredit).

Tuttavia, la presenza di uno sponsor particolare – la Fondazione Gramsci – merita una riflessione e un approfondimento.
  • Cosa c’entra Gramsci, quando i mass-media ci dicono che la diffusione dell’ideologia gender è frutto di una cultura liberal-libertaria? 
  • Non ci viene detto anche da autorevoli ecclesiastici che la responsabile dell’attuale deriva etica dell’Occidente è «l’ideologia dell’individualismo liberale»?
  • e il Pontefice non mette spesso in guardia dalle «colonizzazioni ideologiche, sostenute anche da Paesi molto influenti»?




Per rispondere a queste domande occorre riprendere la teoria dell’azione suggerita da Gramsci per i paesi di antica cultura cristiana, nei quali: «ci può e ci deve essere una attività egemonica anche prima dell’andata al potere» (Q. 19, 68), in particolare nei confronti della religione che «è rimasta allo stato di superstizione, ma non è stata sostituita da una nuova moralità laica e umanistica» (Q. 21, 21).

È questa la ragione per cui, dall’immediato dopoguerra ad oggi, il PCI prima e le sue trasformazioni poi, hanno progressivamente permeato di cultura socialista e laica tutti i centri che creano il consenso – televisioni e radio, giornali e case editrici, cinema e moda, scuola e università, musica e magistratura, ecc. – compresa la «lotta per subordinare il clero, come tipica categoria di intellettuali, alle direttive dello Stato» (Q. 7, 50).

#Gramsci e il movimento #LGBT #osservatoriogender #genderdiktatTwitta la notizia !


In questa prospettiva si può capire perché tutti i partiti europei di impostazione socialista cooperano con quelli laicisti e libertari per la diffusione del gender e delle varie ideologie LGBT, dell’aborto e dell’eutanasia, della droga e della fecondazione artificiale. Infatti, questi ed altri mezzi sono presenti anche nell’impressionante Documento politico del Bologna pride 2017 che, nell’ottica della “nuova moralità laica e umanistica”, appare perfettamente in linea con il gramscismo e le attività della Fondazione Gramsci.

Il risultato di tale dissoluzione etica è una “società liquida” (Bauman), forse prodotta dall’individualismo sfrenato, ma nella quale lo Stato sicuramente controlla e dirige tutto, prendendosi cura sia delle grandi imprese super capitalistiche che dei suoi sudditi, dalla culla alla bara. E salendo di dimensioni, attraverso gli orgasmi comunitari e internazionali, riunisce tutti in una specie di Stato di un nuovo socialismo planetario.

Non sappiamo se la situazione attuale fosse nei sogni di Gramsci o dei fondatori del movimento LGBT, ma solo un cieco può negare che in tutti gli Stati europei praticamente ogni attività – politica, economica, culturale – è sotto il controllo dello Stato: l’individualismo liberale c’entra con la distruzione della famiglia, della proprietà privata e della religione (Engels), ma è solo un mezzo, non il fine.



Osservatorio Gender - ULTIME NOTIZIE - Bollettino n. 91 del 18 novembre 2017

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ULTIME NOTIZIE - Bollettino n. 91 del 18 novembre 2017

Polemiche a Corsico per coro LGBT in chiesa

Lunedì scorso, nella chiesa di Sant'Antonio a Corsico, ha avuto luogo l'esibizione del coro The Good News Female Gospel Choir, con uno show che ha chiuso la prima giornata della prima edizione della "Settimana della gentilezza" organizzata dall'istituto scolastico Copernico con la collaborazione del Comitato genitori e di altre realtà locali.

   
Addio "Ladies and gentlemen"?

Quante volte, nella nostra vita, abbiamo sentito aprire un discorso o risuonare un annuncio con il classico "ladies and gentlemen", "madames et messieurs" o "signore e signori"? Così tante da ritenerlo un fatto scontato e non farci più caso.


   
Le istituzioni piemontesi celebrano la "Trans Freedom March"

Le istituzioni piemontesi si preparano a celebrare in "pompa magna" il Transgender Day of Remembrance (TDoR) che ricorre il prossimo 20 novembre. In occasione di tale commemorazione, il gruppo LGBT+ del Coordinamento Torino Pride ha infatti organizzato per le strade di Torino, la Trans Freedom March, ottenendo il patrocinio della Regione Piemonte, del Consiglio regionale del Piemonte e della […]

   
Germania, arriva il terzo sesso

E' di pochi giorni fa la notizia che la Corte Costituzionale tedesca, con una decisione presa a maggioranza di 7 giudici contro 1 – nonostante il parere contrario di alcune associazioni cattoliche –  ha stabilito che le persone "intersessuali" potranno registrarsi all'anagrafe con come maschio o femmina, ma come terzo sesso (o meglio, terzo genere). […]

   
All'Università di Siena apre lo sportello LGBT

E' stato inaugurato a Siena, in collaborazione col Comune e con la Rete nazionale delle pubbliche amministrazioni anti discriminazioni per orientamento sessuale e identità di genere, denominata READY, lo sportello LGBT dell'Università di Siena. "Un punto di riferimento informativo – commenta l'assessore alle Pari Opportunità, Tiziana Tarquini – che va ad aggiungersi a quelli del […]

   
Gramsci e il movimento LGBT

Dall'8 al 20 ottobre si è svolto a Bologna un "Festival delle biblioteche" che ha avuto come tema «Il cammino dei diritti».  L'incontro tenutosi il 13 ottobre presso la sede del "Cassero – LGBT center" rivela in modo chiaro di quali diritti si stia parlando: «Affetti e diritti: il cammino verso la piena cittadinanza per […]

   
Firenze: al via i corsi di educazione al "gender diktat" per alberghi e ristoranti

A Firenze sono al via i corsi, già annunciati sull'Osservatorio Gender a luglio in un articolo di Luca Romani dal titolo Gender diktat: albergatori e ristoratori fiorentini a scuola di "normalità" Lgbt+, volti a sensibilizzare albergatori, ristoratori e operatori del settore turistico nei confronti del turismo omosessuale di ogni sorta. Artefice dell'iniziativa è la militante LGBT+, […]

   
Una nuova categoria si profila all'orizzonte, quella degli "intersessuali"

E' maschio o femmina? Questa è la classica domanda che viene posta a tutti i nuovi genitori. A quanto pare, però, vi è una piccola percentuale di casi in cui la risposta non è così semplice: il bambino è "intersessuale", ossia presenta caratteri dell'uno e dell'altro sesso. Ma tali casi come sono trattati dalla legge?

   




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