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sábado, 31 de marzo de 2018

Le Linceul de Turin ne peut venir que de la Résurrection du Christ


Une preuve irréfutable de la résurection du Christ ?




Ecrivez et posez vos questions à : 30videosapologetiques@gmail.com
https://youtu.be/x8kXiDm5rLc


jueves, 29 de marzo de 2018

"Il n’y aura plus, ni « père », ni « mère », à la mairie de Paris.



Parent 1, parent 2, les cathares sont de retour


De La Manif Pour Tous :




"Il n’y aura plus, ni « père », ni « mère », à la mairie de Paris. Voilà ce que les conseillers de Paris ont voté il y a quelques jours pour les formulaires de demandes d’état civil. A la place ? « Parent 1 », « Parent 2 ».

Pourtant, en 2013, lors des débats sur la loi autorisant le mariage de deux personnes du même sexe, Christiane Taubira et la majorité socialiste avaient juré, suite aux alertes de La Manif Pour Tous, que jamais, ô grand jamais, cela n’arriverait.

Les élus l’ont voté au nom de la lutte contre la discrimination à l’égard des parents de même sexe. Mais qu’en est-il des couples homme-femme : ne sont-ils pas eux-mêmes niés, voire insultés, de ne plus être reconnus comme père et mère, mais qualifiés de parents 1 et 2 ? Qu’est-ce qu’un « parent 1 » ou « parent 2 » ?

Demain, à Paris, 99% des couples se verront imposer un formulaire travestissant la réalité, à savoir qu’un enfant naît toujours d’un père et d’une mère. Prétendre le contraire, c’est se ranger dans le camp des individus qui disent que la terre est plate et que Napoléon n’a jamais existé.

Conçue par les idéologues du genre niant la différence homme-femme et du même coup la différence père-mère, réinventant le monde à l’aune de leur utopie, la loi Taubira entraîne à sa suite la déconstruction de la filiation et du droit de la famille.

Demain, les enfants parisiens liront sur leurs actes d’état-civil qu’ils sont nés d’un « parent 1 » et d’un « parent 2 ». Ils se demanderont pourquoi leur mère n’est pas reconnue comme mère et leur père comme père, qu’est-ce que cela signifie, quelle raison a pu justifier une telle décision. Ils découvriront une époque au cours de laquelle des groupes d’hommes et de femmes, niant la dimension charnelle de leur être et tout ce qu’elle implique, militaient pour une nouvelle croyance dans laquelle le corps n’avait ni sens, ni signification, ni importance, où il n’était qu’une chose, déconnecté du psychisme, de l’affectif, du culturel.

Ayant la foi des convertis et animés par la violence de ceux qui détiennent une nouvelle « vérité », ces enfants rapprocheront cette idéologie de la foi des cathares, qui, au Moyen-âge, voyaient le corps comme une prison. Comme eux, ces néo-cathares veulent que nous soyons « purs » de notre réalité, de nos origines. Pour cela, plus d’identité sexuelle, plus de père ni de mère, plus de maternité, ni de paternité : uniquement la parentalité et des parents 1 et 2 (en attendant les 3 et 4 ?)

Tuer le père, tuer la mère, transformer les hommes et les femmes en les fondant dans une humanité asexuée. Gageons que les électeurs parisiens n’oublieront pas, lors des prochaines élections, qu’avec Madame Hidalgo, leur paternité et leur maternité sont confondues l’une avec l’autre, c’est-à-dire niées dans leur différence et leur complémentarité, en particulier dans le lien avec leur enfant. Espérons qu’ailleurs, en France, les élus locaux se gardent de céder au prosélytisme d’une minorité de néo-cathares qu’il faut combattre pied à pied tant elle fait de dégâts, en attendant que les générations à venir ne les condamnent pour obscurantisme."


Quand on est dans l’illimité, il n’y a plus de limites du tout, le monde peut alors prendre fin avant que l’infini ne soit atteint.


2018: le bruit des bottes

par Michel Lhomme ♦ Philosophe, politologue.

Le ministre britannique de la Défense, le conservateur Gavin Williamson, a annoncé, il y a un mois, que le Royaume-Uni changeait sa stratégie de défense, passant d’une stratégie ciblant les terroristes (Al-Qaïda, Daesh) à une stratégie ciblant trois pays : la Russie, la Chine et la Corée du Nord.

Il a reconnu qu’une augmentation massive des dépenses militaires sera nécessaire à cette fin et que des « économies » devront être réalisées dans d’autres domaines de dépenses gouvernementales, comme les services de santé et les dépenses militaires contre le terrorisme. Le titre du London Times du 22 février était « La Russie est une plus grande menace pour notre sécurité que les terroristes ».

Ainsi la perfide Albion s’inscrit dans les préparatifs qui s’accélèrent de la troisième guerre mondiale puisque les États-Unis ont déclaré la « concurrence stratégique » de pays comme la Chine et la Russie comme étant devenu leur principal objectif plutôt que de lutter contre le terrorisme qu’ils ont en réalité fomenté depuis trois décennies. Ainsi, comme ce qui s’est passé lorsque le Premier ministre britannique Tony Blair a fait de son pays le chien de garde du président américain George W. Bush lors de l’invasion de l’Irak en 2003, la Première ministre britannique Theresa May devient l’animal de compagnie du président américain Donald Trump dans les conflits à venir contre la Corée du Nord, la Russie et la Chine sans oublier bien évidemment l’Iran.

Reste que pour faire la guerre, fut-elle celle des frappes nucléaires sur les villes, il ne faut pas seulement avoir des reins solides mais un peuple au moral d’acier. De plus, même si Donald Trump a proposé une augmentation de 54 milliards de dollars des dépenses fédérales pour les forces armées, la majorité des Américains ne le souhaitent pas du tout et préféreraient selon un dernier sondage une réduction de 41 milliards de dollars. Pire, la majorité des personnes interrogées au sein du parti républicain ont déclaré qu’elles souhaitaient maintenir le budget de défense dit « de base »au niveau actuel. Elles sont même favorables à une réduction de 5 milliards de dollars des dépenses concernant le budget pour les « opérations des contingents à l’étranger », notamment en Afghanistan et en Irak ! Les choix sont donc faits sans tenir compte de l’opinion publique et encore moins de la démocratie. S’il devait donc y avoir une troisième guerre mondiale et si l’Iran ou la Russie devaient en être la cible principale, il ne serait pas possible de faire accepter toute la propagande humaniste à une opinion publique qui n’est plus dupe des tergiversations intellectuelles.

Reste l’ubris, la démesure propre au système des pays « démocratiques » occidentaux devenus illibéraux, les États-Unis et leurs alliés

En effet s’ils sont globalistes et mondialistes, le monde seul est leur limite. Quand on est dans l’illimité, il n’y a plus de limites du tout, le monde peut alors prendre fin avant que l’infini ne soit atteint. Les évangélistes américains prêchent l’anéantissement mondial car les prédicateurs de la troisième guerre mondiale ne sont pas en réalité musulmans mais anglicans tels ces journalistes de The Economist qui en appellent peu ou prou par principe de précaution à déclencher les missiles contre la Russie et la Chine parce que ces pays contesteraient tout simplement l’hégémonie américaine.

La Russie ne cache pourtant pas ses inquiétudes au monde et Sergueï Lavrov, son Ministre des Affaires étrangères a annoncé que « les militaires américains préparent les forces armées des pays européens à l’utilisation des armes nucléaires tactiques contre la Russie ». Ce fut lors de la dernière session de la conférence sur le désarmement à Genève où le ministre russe a exprimé l’espoir – sans doute vain – que les Européen opposent un «non» ferme au déploiement sur leur territoire des armes nucléaires américaines.

L’utilisation des armes nucléaires tactiques contre la Russie à partir du sol européen est une option clairement mise sur la table par l’Otan. Elle entraînerait pourtant des représailles immédiates et que les États-Unis le paieraient aussi sur leur territoire. Cependant Moscou ne cesse de redire qu’elle est prête à la reprise des négociations au sein d’une conférence sur le désarmement et qu’aucun tabou n’existe sur les points à mettre à l’ordre du jour sur la base d’un programme équilibré et issu d’un consensus.

En attendant et loin de tout signe d’apaisement sur le scénario européen, Porochenko a signé la loi de réintégration du Donbass, enterrant ainsi les accords de Minsk II et ce quelques jours à peine après la conférence sur la Sécurité de Munich. La loi ukrainienne du 16 janvier désigne la Russie comme l’état agresseur qui occupe les territoires de la République Populaire de Donetsk (RPD) et de la République Populaire de Lougansk (RPL). Cette loi rend aussi la Russie responsable des dommages moraux, financiers et physiques infligés à l’Ukraine du fait de la guerre dans le Donbass.

L’OTAN n’attend-elle que cela ?

Une reprise des combats dans le Donbass justifierait de lancer immédiatement une guerre contre la Russie. La seule question est de savoir si l’armée ukrainienne, dans sa débandade présente attaquera, les troupes étant totalement démotivées sauf peut-être chez les nazbroks de l’Union. Porochenko, est de plus en plus contesté et les manifestations appelant à sa destitution se multiplient un peu partout en Ukraine. Quant à Washington, elle a besoin d’une guerre pour sauver son hégémonie, son économie et le système financier tout entier.

De fait, pour tout analyste , le budget militaire américain record de 686 milliards de dollars pour 2019 montre que Washington se prépare à des guerres conventionnelles entre États.

Source: metamag.fr

lunes, 26 de marzo de 2018

«Niente fede senza battaglia». Lo ha detto l'arcivescovo emerito di Ferrara, mons. Luigi Negri, chiudendo il convegno sui cinquant'anni dall'Humanae Vitae



radioromalibera.org 

il primo giornale radio cattolico online 25 marzo 2018 - contenuti dell'ultima settimana



Errore di base


I falsi ecumenisti si sbagliano, quando agiscono come se bastasse l’amore, perché sono necessarie sia la conoscenza sia l’amore, ove la conoscenza ha la precedenza sull’amore; la Fede sulla Carità; il Vero sul Bene.


Sentimentalismo


L’Ecumenismo falso, in quanto prescinde dalla Verità oggettiva, è irrazionale e costituisce solo l’amore emozionale. Si può caratterizzare più precisamente come sentimentalismo. Ha fatto la sua prima apparizione ufficiale nella Chiesa nei testi del concilio Vaticano II.

Cultura Cattolica

Il trionfo dell’impresa familiare


Le aziende familiari vanno di moda e piacciono a tutti. Ai manager per la loro visione di lungo termine, ai politici perché creano posti di lavoro relativamente più sicuri ed all’opinione pubblica perché mantengono un legame con le comunità locali. Eppure su di loro pesano ingenerosi stereotipi e luoghi comuni, peraltro infondati, come è possibile dimostrare, cifre alla mano.


Mario Oliveri: Un Vescovo scrive alla Santa Sede sui pericoli del relativismo dogmatico


Attraverso l’accurato lavoro del noto filosofo e teologo mons. Antonio Livi, disponiamo oggi di una preziosa scelta di Lettere, che mons. Mario Oliveri inviò alla Santa Sede per denunciare le criticità della teologia cattolica più diffusa e ufficiale, avendo come metro di giudizio il Magistero e la Tradizione, quali fonti sempre vive di orientamento pastorale.


A quarant’anni dall’aborto in Italia (1978-2018)


L’attenzione di tutti media in Italia si è concentrata in questi giorni sul quarantesimo anniversario del rapimento di Aldo Moro, ma è sfuggito un altro anniversario, non meno terribile: la promulgazione della legge sull’aborto.


Il Paramento Mazza


Mai come nell’odierna civiltà dell’immagine la Chiesa sembra avere problemi con le immagini, specie nel suo ufficio più importante, la Liturgia. Eppure fin dall’origine il culto cristiano si è alimentato di raffigurazioni e suoni qualificati. Il paramento Mazza attesta però ancora una volta – ed in tempi recenti – l’inscindibile rapporto sussistente tra immagini e Liturgia.


«Niente fede senza battaglia»


Lo ha detto l’arcivescovo emerito di Ferrara, mons. Luigi Negri, chiudendo il convegno sui cinquant’anni dall’Humanae Vitae, promosso da "Voice of the Family" a Roma presso la Pontificia Università «S. Tommaso d’Aquino» lo scorso 28 ottobre.


La «perpetua quadriglia»


La politica internazionale ha sempre conosciuto rovesciamenti di alleanze e allineamenti tattici e temporanei, dando vita alla «perpetua quadriglia» tra le Grandi Potenze. Oggi però non è più evidente quale sia il cardine della politica internazionale. In quest’articolo però il prof. Massimo de Leonardis, docente di Storia delle Relazioni e delle Istituzioni Internazionali presso l’Università Cattolica di Milano, traccia un quadro esaustivo e chiarissimo della situazione attuale e di quel che potrebbe accadere negli anni a venire.


Nazionalità e globalismo


Nazionalità e globalismo: oggi sono considerati termini agli antipodi, contrapposti l’una all’altro. Eppure, non è sempre stato così e non è ovunque così, come spiega in questa intervista il prof. Matteo D’Amico.

sábado, 24 de marzo de 2018

The same old collectivist wine poured into new political and cultural bottles




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Collectivism’s Progress: From Marxism to Race and Gender Warfare


by Richard M. Ebeling

  • Enter the new variation on the old Marxist theme. 
  • For most of the last two hundred years, the socialists and communists insisted that the great human conflict centered on “social classes.” 
  • But how do you sell “class warfare” when most in society view themselves as “middle class"?
  • So the traditional socialist class warfare was jettisoned, and in its place, there was offered the new race and gender warfare.

COLLECTIVISTS HAVE REPLACED "CLASS STRUGGLE" WITH RACE AND GENDER WARFARE

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The 9 types of conservatives based on their ideas. Where do you fall?

Huxley’s Mirror

by Vigen Guroian

Orwell’s dystopia was technological and scary enough. Huxley’s was moreterrifying because it was human.

 
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The Confused Student’s Guide to Conservatism

by Peter Augustine Lawler

This “cheat sheet” will show you the 9 types of conservatives based on their ideas. Where do you fall? 
 
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DEMOCRACY AND ITS DISCONTENTS

DEMOCRACY AND ITS DISCONTENTS

By EPPC Distinguished Senior Fellow George Weigel
National Affairs

Sorting out this season of democratic disorientation and charting the path of democratic renewal will require a sober assessment of democracy’s present discontents and a refresher course in some basic truths about the nature of the democratic project and the conditions necessary for its flourishing. (This essay is adapted from Mr. Weigel’s 17th annual William E. Simon Lecture. An audio recording of the lecture is available here.) 
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A CRISIS OF LIBERALISM?

By EPPC Adjunct Fellow Eric Cohen
The Weekly Standard

There is much to admire in Patrick Deneen’s book Why Liberalism Failed, which combines impressive learning in the history of political theory and genuine attention to the complex realities of contemporary life. But the book is also deeply flawed. Read More

VIDEO: CULTURE AND ART
IN A POPULIST AGE

 
In October 2017, EPPC hosted a one-day conference that explored the immediate future of the arts within the dynamic and controversial political environment that has emerged in recent years. EPPC Senior Fellow Bruce Cole, who died in January, spoke on “Consonance and Dissonance in the Music and Art World.” Click here to view a video of his remarks, as well as a video featuring highlights from other presentations at the conference.
 

IDENTITY AND ASSIMILATION

By EPPC Fellow Luma Simms
National Affairs

Assimilation has proven so difficult lately not because American culture is too cohesive and self-confident but because it has lost the capacity to tell its own story coherently. Read More
(See also Mrs. Simms's piece for National Review Online titled "Is Immigration Good for Immigrants?") 

HELP WORKERS WITHOUT A TRADE WAR

By EPPC Senior Fellow Henry Olsen
Wall Street Journal

Free trade benefits America and its trading partners. But President Trump is right that it doesn’t benefit everyone. Supporters of global trade ought to think about other measures governments can take to reduce the pain many individuals and communities experience. Read More
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MAN OF STEEL

By EPPC Senior Fellow Mona Charen
Syndicated Column

President Trump’s tariffs reflect his preoccupation with heavy industry—and his failure to arrive at a basic understanding of economic policy. Read More

GETTING READY FOR SYNOD-2018

By EPPC Distinguished Senior Fellow George Weigel
Syndicated Column

The Church in the United States has had some success addressing youth ministry and vocational discernment, despite challenging cultural circumstances; so perhaps some American leaders in those areas could be invited to Synod-2018 to enrich its discussion, on the Synod floor and off it. Read More

TRUST, FACTS AND THE POST-TRUTH POLITICAL MOMENT

By EPPC Senior Fellow Peter Wehner
Knight Foundation

As a species, humans are ever in search of data that confirm what they want to believe, what they already believe. The inclination to do this is particularly strong in times of division and dispute, when society seems to lack reliable authority figures in various fields. And Americans are plainly living in such a moment now. Read More

WHAT WE TALK ABOUT WHEN WE TALK ABOUT REPUTATION

By EPPC Resident Scholar James Bowman
The Weekly Standard

In trying to modernize our understanding of the “elusive concept” of reputation, a new book loses sight of its historical meaning. Read More

LEARNING FROM THE WHITE ROSE

By EPPC Distinguished Senior Fellow George Weigel
Syndicated Column

There is a lot of talk in the Church these days about “conscience,” and Blessed John Henry Newman is invoked by many prominent personalities in those debates. So it might be useful for all concerned, including Church leaders in the Munich where the White Rose youngsters in 1943 gave their lives for the truth, to ponder Newman’s influence on these contemporary martyrs. Read More

MUCH MORE THAN ECONOMICS

By EPPC Senior Fellow Mona Charen
Syndicated Column

Once a week, for twelve years, economist Russ Roberts has been taking the dismal out of the dismal science in hisEconTalk podcast. Read More

WHAT IS EDUCATION GOOD FOR?

By EPPC Visiting Fellow Ian Lindquist
The Weekly Standard

Bryan Caplan’s The Case Against Education lays the groundwork for readers to think anew about education, what it does and ought to do, what place it holds and ought to hold in American society. Read More

LONG WEEKEND AT KAMALA’S

By EPPC Senior Fellow Henry Olsen
City Journal

Supporters of Bernie Sanders are surely sincere in their conviction that superdelegates cost their man the 2016 nomination. But in their rush to make the path straight for his return, they are clearing the path for a progressive with more cross-racial appeal, like Kamala Harris, to push him aside. Read More

A LITTLE TOO MUCH REALITY IN THE TRUMP REALITY SHOW

By EPPC Senior Fellow Mona Charen
Syndicated Column

President Trump vehemently denies accusations of groping and affairs, but this week it seems that the elaborate and expensive efforts he has undertaken to conceal his behavior are unraveling a bit. Read More

LONELINESS IS FUELING THE OPIOID EPIDEMIC. HERE’S HOW YOU CAN HELP.

By EPPC Fellow Luma Simms
The Federalist

Social despair more so than economic despair is the main driver behind our current opioid crisis; the task before us looms large, but there is a way to repair and rebuild social capital. Read More
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